Une cage au fond du magasin, c’est la énième fois que la jeune femem dors dans cette cage, toujours a même au fond du magasin, toujours la cage ou la neiko est la plus calme, pas de cris, pas de mouvement, pourquoi essayer de s’enfuir, on la rattraperait, et puis elle a une couverture pour dormis, de l’eau, de la nourriture. Tous ce qui valait et surtout pas de maître qui lui cie dessus parce qu’elle fait une bêtise sans le vouloir, de plus le marchant la laisse tranquille, elle est déjà passée entre ces mains, elle a déjà eu affaire a lui, elle s’est laissée faire comme toujours, elle ne sait faire que cela, alors elle ne l’intéresse plus.
La jeune neiko dors au fond de la cage roulée en boule sur la couverture, sa queue beige, a la pointe noir bougeant doucement sous la monté de ces rêves, ces oreilles de même couleur, couchée sur sa tête. Elle semble dormir du sommeil du juste de celui qui n’a pas peur de bouger, qui n’a rien fait. Un bruit dans le magasin lui fait ouvrire ces yeux, de grand yeux sombre, aussi doux que des yeux de biche, aussi tendre que des bonbon a la réglisse, un regard un peu perdu sous ces cils noir. Des barreau toujours des barreau, la jeune chatte a l’impression de devenir claustrophobe, mais elle se redresse doucement étirant ces membres, soulignant sa poitrine opulent simplement couvert pas un top blanc très légère, le bas est couverts par une simple jupe qui lui arive a mi cuisse, pas très longe et en dessus un simple boxer noir.
La jeune femme baille doucement, avant de se rasseoir, elle s’ennuie un peu, mais elle ne dit rien, elle ne gémit pas, elle ne bouge pas attendant simplement que quelqu’un vienne la sortir, il y a toujours quelqu’un qui viendra la chercher même si le temps est long des fois. Tiens le marchant est partit, elle peu chanter alors, c’est peu être la seule chose qu’elle sait vraiment faire.
« Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia lago
Ture madilé
Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia madilé
Kenatu narilé
Lakenatu narilé
Pasema niamo ture saro
Delamaoré
Kenatu narilé
Lakenatu narilé
Pasema niamo ture sanisi
Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia lago
Ture madilé »
Des paroles qui ne veule pas dire grand chose seulement des mots qu’elle a entendus il y a longtemps, un musique qu’elle se rappelle chantée par un voie douce, qui donc chantait cela pour elle, elle ne peut plus s’en rappeler, mais ça l’apaise de chanter cela, ça la soulage de chanter simplement d’oublier les mur, les barreau, alors elle chante doucement rien que pour elle même attendant que le temps passe, que quelqu’un vienne, ou que la mort arrive.
« Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia lago
Ture madilé
Sanomi helé
Manilla keranu
Aliya irema nia madilé
Kenatu narilé
Lakenatu narilé
Pasema niamo ture saro
Delamaoré
Kenatu narilé
Lakenatu narilé
Pasema niamo ture sanisi
Léala léala sorimana sorimana
Léala léala sorimanao
Léala léala sorimana sorimana
Léala léala sorimana soléo »
Simplement chanter en oubliant le monde alentour. Sans plus faire attention au personne qui pourrait venir.