attend maître déséspérément (pv Saito)

Ceci faisait déja plusieur jour qu'Aine était dans ce magasin à l'attente d'un maître. Elle se fichait bien que celui ci sois gentil ou méchant elle voulait juste un maître. Elle espérait tout de même que ce sois un homme et non une femme mais en ce moment elle voulait juste avoir un maître qui l'emmenerait loin de ce magasin. Elle était assis dans un coin, les genoux replié et la tête dedans. Sa longue cheuvelure lui retombait le long de son doux visage blanc que l'on voyait à peine. Son regard exprimait une grande tristesse et la solitude. Elle qui avait toujours été entourée, elle se retrouvait seule sans personne à qui se confier. Elle se méfiait des personnes qui se trouvait dans le magasin. Elle regardait les gens venir, partirn passer devant elle, la regarder puis partir dans le sens opposé. Elle commençait à se dire que personne ne voudrait d'elle. Pourtant elle était quelqu'un de plutôt docile et prête à tout pour faire le bonheur de son maître. Mais personne ne venait pour elle. Au bout d'un long moment, alors que déja plusieur personne était venu puis repartit, elle tourna son visage vers la fenêtre et observa les passants, seul ou déja accompagné de leur Neko, qui semblait, la majorité du temps, heureux avec leur maître. Elle voulait découvrir ce sentiment. Elle n'abandonnerait pas. Elle continuerait d'attendre son maître. Mais il commençait à être vraiment long à venir la chercher.

Comme a son habitude Saito se baladait dans les rues, il faisait déjà nuit pourtant il n’était pas tard, cela se voyait que l’hiver était là. Exceptionnellement il n’avait pas été près de la fontaine où il allait à chaque foi, il cherchait quelque chose de tranquille, un endroit ou manger chaud mais en extérieur. Une odeur attira son attention, il la suivit a son aise en marchant au gré des rues, arrivée a son origine il eu un léger sourire. Une friterie, voila exactement se qui lui fallait, il s’approcha et commanda de quoi manger, le service fut rapide et il peu rapidement s’éloigner avec ça commande la dégustant à son aise et dans le calme. Il avait le ventre plein rien de mieux pour une bonne balade nocturne, il s’arrêta net devant un magasin et regarda à l’intérieur. L’animalerie, le magasin de neko après un instant d’hésitation il entra dedans faisant retentir le carillon.

Il s’avança dans le magasin observant à droit et à gauche les nekos qui s’y trouvait, mais pas une attira son attention elle était toute banal, et avait l’air rebel. Alors que là il n’avait pas envie de les torturer où quoi que se soit, il voulait une neko docile et plutôt bien obéissante, une neko qui pourrait faire la cuisine, nettoyer la maison, les vêtements etc…
Maintenant si elle venait a refuser certaine chose, ou être un peu trop énervante il serait vite fait la remettre a sa place, mais ce n’était pas dans sa priorité. Tout en marchant il vit une neko étrange, il pensait avoir mal vu et décida de vérifie tout de même. Au fond d’une cage se trouvait une neko dont les yeux était de la même couleur que lui quand il le faisait changer de couleur, une neko dont les yeux était rouge et la peau plutôt blanche. Il la regardait avant de lâcher un petit rire, qu’il ne peu retenir et tout en l’observant lui demanda :

« Et bien neko, on a des problèmes de pigmentation. Pour avoir des yeux rouge et une peau blanche. »

[ Je me suis baser sur ta fiche, même si je sais pas si pour finir tu es les cheveux noir ou brun ]

Aine était complètement perdut dans ses pensées, rêvant, somnolant à moitié. Son regard fixait le vide, il hérait sans réellement se poser sur quelque chose de bien précit. Elle avait remit ses cheveux dans son dos, de tel façon qu'à présent on pouvait voir le le blanc de sa peau et le rouge de ses yeux. Son visage intimidait plutôt les autres nekos, pas du tout habitués à voir une ancienne rebelle. Bien qu'elle soit à présent docile et complètement soumise, elle n'avait rien changé dans sa tenu ou même dans ses habitudes, et les yeux en fond partit. Les humains... Ses créatures sans queue n'y oreilles de chats, ces personnes si proche et pourtant si loin des nekos. Ils intrigaient beaucoup la jeune fille qui n'avait vu jusqu'à présent que quelques humains étant plus jeune.

Quand elle entendit le carillon, ses oreilles se dréssèrent sur sa tête mais elle ne la bougea pas pour autant. Elle ne détourna pas son regard bien que ce tintement l'ai fait sortir de son rêve. Elle entendit les autres nekos se précipiter mais la personne qui venait d'entrer ne semblait pas y faire réellement attention. Puis, elle l'entendit s'adresser à elle. Il lui dit qu'elle avait des problèmes de pigmentation pour avoir des yeux rouges et une peau blanche. Un frisson la parcouru. C'était une voix masculine dont le rire la glassait de peur. Elle detourna son regard pour le poser dans les yeux de l'inconnu. Elle se surprit elle même quand elle parla d'une voix douce et calme:


"Non je n'ai aucun problèmes de pigmentation monsieur quand à la couleru de mes yeux elle n'est pas naturelle."

Elle eu un petit sourire plutôt mignon mais assez froid, pas vraiment chalheureux.

Le jeune homme en face d'elle semblait plutôt étonné par sa réaction. C'est vrai qu'elle était resté calme et ne parla pas sur un ton plutôt provocateur comme elle l'aurais fait bien avant. Elle se contenta de le regarder et de lui sourire. On lui avait répété et répété des centaines de fois que lorsque notre réaction était plutôt inatendut, trop calme ou trop brusque, ceci déstabilisait beaucoup la personne en face d'elle pourtant ce n'était pas son but. Elle voulait juste rester polie et gentille comme la jeune fille qu'elle était devenu. Elle le regardait fixement avec un regard plutôt sombre et triste. Un regard qui rejetait pratiquement que la haine et le méprie sur les autres personnes, un regard qui avait bien changé et qui pourtant était resté intact. Elle le vit fermer les yeux et quand il les réouvrit, ils étaient devenu aussi rouge que le sang. Aine eu un petit sursaut et ses cheveux s'étaient légèrement dréssé sur sa tête. Ses oreilles s'étaient dréssé d'un seul coup, comme si elle était des plus étonnée. Elle le regarda avec des yeux rond et remplis de stupeur. Il lui demanda ce que voulait dire pour elle pas naturelle. Elle hésita avant de répondre comme si ses mots restaient bloquer dans sa gorge. Puis elle réussi à se calmer. Elle répondit comme si rien ne s'était passé, comme si elle n'avait rien vu.

"La couleur de mes yeux son de simple lentilles que j'ai depuis que je suis très jeune. D'origine mes yeux sont vert ou noir."

Elle avait fermé les yeux en disant ces mots comme pour ne pas être déstabilisé par le regard du jeune homme en face d'elle. Quand elle les réouvrit elle le regarda droit dans les yeux sans réagir.

Le jeune homme en face d'elle se mit à sourire. Un sourire froid sans vie, un sourire à vous glacer le sang. Aine resta pourtant calme bien qu'elle fut un peu nerveuse à ce moment là. Ses yeux exprimait la méchanceté à l'état pur, mais peu importe. Il passa sa main à travers les barreau ce qui réveilla la curiosité de la jeune fille. Elle regarda d'abord cette main étrangère dans tous les sens. Que lui voulait t'il?

Elle la prit entre ses mains avec la plus grande préccotion pour ne pas lui faire mal, comme si elle avait entre ses mains quelque chose d'extrèmement fragile et qu'elle risquait de casser au moindre mouvement brusque. Elle prit la main et mit la paume de Saito devant son visage. Elle la regarda longuement l'air intrigué. Quand à lui il se laissait faire. Puis quand elle fut rassurée, sans vraiment réfléchir à ce qu'elle faisait non plus, elle porta cette main sur son visage. Il était froid mais doux alors que la main, elle, était plutôt chaude. Elle ferma les yeux et resta comme ça. Elle ne cherchait pas vraiment des caresses juste la chaleur d'un corps étrangé. Puis elle le regarda, lacha sa main.


"Ex... excusez moi."

Elle baissa les yeux, l'air honteuse, elle même surprise par ce qu'elle venait de faire.

Le jeune fut surprit de la réaction de la neko qui était elle même plutôt étonnée de son audace. Il tourna le dos à la neko qui fut un peu surprise. Elle cherche d'abord à attirer son attention pour qu'il se retourne, cherchant à regarder son visage mais très vite elle laissa tomber et remit ses bras autour de ses jambes replier, essayant de se faire le plus petit possible. Puis celui ci lui demanda quel était son nom et qu'est ce qu'elle pouvait faire pour se rendre utile à un maître. Aine se redressa et réfléchit quelque minutes lachant un hummmmm... de réfléction.

"Je m'appelle Aine. Je suis capable de faire à manger, le ménage, la laissive... en gros toutes les taches ménagères."

Aine était plutôt douée pour ce genre de chose car, déja petite, elle savait le faire. Mais pourquoi lui posait t'il cette question? Peut être voulait t'il l'adopter.

* Pas de conclusion attive sinon si il refuse je vais aller encore mal.*

Elle resta silencieuse attendant de savoir ce que lui voulait Saito.

La main qui était en train de la caresser glissa le long de son visage avant de repartir retrouver sa liberté. Le jeune homme se dirigea vers le vendeur. Ils discutèrent un petit moment mais Aine ne pouvait rien entendre. Elle s'approcha, attrapant les barreaux de sa cage essayant de voir les deux hommes parler entre eux. Puis il revint vers elle. Là la neko recula vers le fond de sa cage pour se rassoir. Il ouvrit sa cage. Il lui dit qu'elle pouvait sortir qu'elle était à elle à présent. Aine ne comprit pas tout de suite. Ces mots elle rêvait de les entendre. Etait t'elle bien réveillée?

Elle s'approcha tout doucement de la sortit. Elle sortit tout d'abord sa tête, regarda à droite puis à gauche, méfiante. Elle regarda par la suite le jeune homme comme pour avoir encore une fois son autorisation mais elle ne l'attendit pas. Elle sortit au ralentit de sa cage. Elle regarda tout ce qui l'entourait comme si elle les voyait pour le première fois de sa vie. Elle avait l'air très surprise comme une enfant venant de naître, découvrant le monde. Son regard se posa sur les jambes de son maître. Elle y remonta tout doucement pour enfin atteindre son visage. Là elle le regarda comme si elle le voyait pour la toute première fois. Elle lui offrit un grand sourire.

"Merci beaucoup maître."

Elle lui en serait éternellement reconnaissante de l'avoir fait sortir de sa prison.

Chaque fait et geste restèrent sous surveillance, ne sachant pas si ces dires était vrai ou faux il préféra ne pas prendre de risque. Si à tout moment l’envie lui prenait de courir vers une sortie sans issue ou une liberté dont l’illusion la dominait, il pourrait aisément l’attraper et vite la faire revenir dans le monde réel. Chaque mouvement qui la dirigeait vers la sortie de la cage était surveillé jusqu’au moindre poile qui bougeait, tout sont corps était éveillé prêt à bondir si nécessaire.

La sortie se poursuivit sans problème apparent, ces mouvement furent calme et tranquille. Quand elle fut enfin sorti de la cage son regarde parcouru Saito qui l’observait toujours attentivement, il peut remarquer un sourire qui se dessina sur les lèvres de la neko puis elle le remercia. Peut-être n’avait elle pas mentit dans ce qu’elle disait, mais il était un peu tôt pour en être sûr et sa confiance ne se gagnait pas aussi facilement et surtout pas avec de simple mot.

Il fit deux pas vers la neko se retrouvant maintenant à 30cm d’elle, il baissa la tête pour regarder son visage et a nouveau sa réaction. Il voulait savoir ce qu’elle ferait dans différente situation, au mieux il la connaissait et la cernait au mieux il pourrait l’exploiter . Une main se glissa dans la poche intérieur de sa veste pour y prendre un objet, qu’il sorti doucement avec sa main droite. Il la laissa ouverte à plat un collier en son centre, sa main tendu entre eux attendait de se vider de sa charge pour pouvoir se remettre sur le côté, il se demanda a se moment précis si cette neko allait chercher du réconfort contre lui ou non.



[ Hors Sujet : Voici une image du collier. ]

Saito s'approcha d'elle. La distance entre eux était à peut près de 30 cm environ. Il la regarda longuement, ne la quittant pas une seconde des yeux. Aine le regarda dans les yeux avec un air plutôt surprit d'être dévisagée ainsi. Le jeune homme mit une main dans sa pauche et en sortit quelque chose. Il sagissait d'un collier, semblant être créé dans un cuir noir, dont l'interrieur était marron. Elle le regarda. Il mit sa main entre eux. Aine regarda le collier d'un air étonné. Elle réfléchissait. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'elle en avait vu un. Elle se descida enfin. Elle prit le collier de la main de son maître et le mit elle même autour de son cou, le serrant pour qu'il ne tombe pas mais pas trop non plus afin de ne pas étouffer. Puis elle retourna son regard vers lui. La tête de la jeune fille restait rarement immobile, comme si elle avait besoin de bouger pour ne pas tomber.

Elle était assise de telle façon que ses jambes étaient de chaque côté de son corps. Elle resta un long moment dans cette position plus qu'inconfortable mais qu'Aine avait l'habitude de prendre. Elle ferma les yeux et baissa la tête. Elle la remonta doucement avec un regard, pas vraiment triste mais pas non plus joyeux. Elle voulait partir de ce lieu lui rappelant temps de mauvais souvenir. La première fois qu'elle était venu ici elle était très jeune et là elle y était encore mais plus pour très longtemps. Elle espérait que son nouveau maître ne la renverrait plus jamais ici.

Doucement le collier quitta sa main l’allégent du poids de celui il peut la replacer le long de son corps observant toujours la neko silencieusement .Doucement elle plaça le collier autour de son cou le refermant, bouclant par la même occasion son destin qui serais d’être l’esclave de Saito. Mais que pouvait elle imaginer au moment même, peut-être une vie de tranquillité et d’amusement, mais hélas avec lui les chose se passait différemment.

Ses pensées furent perturber quand la neko s’assaya dans une position plus que douteuse, et sûrement inconfortable. Cette neko qu’avait elle donc vécu pour pouvoir tenir dans de tel position aussi inconfortable, cela semblait si facile pour elle surtout qu’elle semblait heureuse en vue de son regard. En temps normal il en aurait profiter pour bien frapper dedans, dans une tel position la douleur devait être énorme pourtant il n’en n’avait pas envie. Restant où il se trouvait il la regarda simplement disant qu’une phrase.

« Au lieu de faire l’idiote lève toi que l’on puis enfin partir de cette endroit. »

Un soupir se fit entendre à la fin de sa phrase, cette foi-ci sa main gauche se glissa dans sa poche et se ferma sur un objet. Doucement son corps effectua une rotation vers la sorti tout en sortant l’objet qui s’avérait être une laisse, exceptionnellement celle-ci était aussi en cuire et non une laisse en chaîne qu’il utilisait habituellement. Il prit le nue de la laisse dans la main droite et le bout métallique dans la main gauche.

Ses pas retentirent dans le magasin et se dirigèrent vers la porte de sortie, il faisait tiquer le bout métallique avec sa main gauche. Ouvrant et fermant celui-ci qui indiquait assez bien sa position ainsi que sa progression dans l’animalerie, ses pas s’arrêtèrent près de la porte. Il effectua une nouvelle rotation et regarda à nouveau la neko, il cessa de faire tiquer le bout métallique et le présenta a la neko. Bientôt il serait prêt pour sortir de là.

[ Hors Sujet : Voici une image de la laisse.

]

En voyant le collier Aine savait bien qu'elle ne vivrait pas une vie bien tranquil et en toute liberté. De plus, Saito ne semblait pas être quelqu'un qui donnait à ses nekos une grande liberté de mouvements ainsi que de paroles. Il devait plutôt quelqu'un qui les achetait juste pour les traîter en esclave. D'ailleur, c'était le cas de bon nombres d'humains. Aine le regarda, le regard triste et noir mais avec tout de même quelque chose qui semblait refléter un grand bonheur et un soulagement. Il lui dit froidement qu'elle devait se lever plutôt que de faire l'idiote pour qu'ils puissent enfin sortir d'ici.

"Bien maître."

Aine se leva et suivit son maître prêt de la porte. Les pas de celui ci résonnaient dans toute la boutique. De plus, il avait sortit une laisse assortit au collier, d'un cuir noir, dont il faisait claquer le bout métallique. Puis, quand il fut arrivé à la hauteur de la porte, il arrêta de jouer avec et présenta le bout à la jeune fille. Celle ci le regarda un moment mais elle le prit très vite avant de s'attacher. De toute façon, laisse ou pas laisse, elle ne se sauverait pas mais ça, Saito ne pouvait pas le savoir.

Il sortirent donc de l'animalerie. Il y avait pas mal de monde dehors, ce qui ne rassura pas la neko. N'étant pas habituée à être autant entourée, elle faisait de son mieux pour ne pas toucher les personnes qui venaient près d'elle. Elle préférait se méfier d'eux. On ne savait jamais ce qui pouvait passer par la tête d'un humain.