tourne en rond [PV]

*Pffffff*

Mais qu’est-ce qu’on s’ennui.

*Ralalalaaaaa*

Bon allez y peut pas se passer quelque chose ! C’est quand même dingue, on dirait que la boutique est déserte. Pas un client depuis ce matin, non pas qu’elle soit franchement pressée de voir des humains, cet idiot de vendeur lui suffit, mais elle est tout de même impatiente de sortir d’ici. Qu’elle aille au pire ou au meilleure peu lui importe mais elle ne supporte plus cette cage et les pleurs des autres minekos, de l’air il lui faut de l’air. Miikyu se découvre un peu claustrophobe ou bien c’est juste l’ambiance de cet endroit qui lui file des angoisses.

Elle s’agite, sa queue remue derrière elle, elle s’étire, elle baille, elle souffle, elle râle...BAM !


-Tiens toi tranquille !


Miikyu sursaute et file au fond de sa cage l’air renfrogné, le vendeur vient de donner un grand coup de pied sur la grille de sa cage pour la faire taire, bien c’est réussit ! Rachel boude dans son coin assise ses genoux ramenés contre elle, elle ne bouge plus.
Ils pourraient au moins leur permettre de sortir se balader un peu, allez se dégourdir les pattes c’est pas trop demander. Que diraient-ils eux si on les enfermaient toute la journée !...Miikyu en renversant la situation se rend compte que ce qu’elle pense est absurde, jamais ça ne leur arrivera, c’est la condition des minekos…et des prisonniers à la rigueur et encore même eux avait une cour pour voir le soleil.

Elle a pourtant un corps, un cœur et des sentiments, seule son physique et ses origines font qu’elle diffère des humains mais elle est autant capable de réflexion qu’eux ! Pourquoi on les traite comme ça, c’est inhumain ! C’est un manque de respect de la vie…les humains sont tous pareil…
A force de penser à ça elle a réussit à s’agacer toute seule et recommence à gigoter mais cette fois elle vient provoquer le vendeur. Rachel se met à la grille et tire la langue,

-Hé ! J’ai soif !

Pas de réponse,

-J’te parle !

Toujours rien,

-Tu me comprend peut être mieux en "miaou" !!

Et elle se met à miauler, faisant exprès d’imiter très mal le chat pour lui casser les oreilles. Le vendeur se lève et passe devant sa cage mais Miikyu ne faiblit pas, elle le perd de vue, il revient avec un seau d’eau qu’il lui balance violement en pleine figure. Miikyu avale de l’eau et tousse et se secoue dans tout les sens,

*Aaaaa nan !*


-Fais ta maligne tant que tu peux, si tu n’es pas vendue avant ce soir je m’occuperais personnellement de toi sale bête effrontée !



-C’est ce qu’on verra…pervers !

Siffla-t-elle entre ses dents quand il fut assez loin. A présent bien trempée elle doit bien reconnaître que ça l’avait calmé, Miikyu se rassit et se secoua les cheveux pour en faire partir l’eau. C’est alors qu’enfin la clochette du magasin retentit. Miikyu se stoppa dans ses mouvements le cœur battant, il fallait absolument qu’elle sorte avant ce soir et peut être la personne qui entrait alors était sa seule et unique "chance" de la journée.

Tout était devenu calme dans l'animalerie dès que l'individu était entré. Chaque néko lachait un miaulement, éssayant de le séduire, cartaine néko se déshabillait meme! Celà était vraiment triste à voir, Miikyu était la seule à ne rien faire, elle le regardait tout simplement. Prenant tout son temps pour détailler cet humain, il était très grand, semblait froid et distant avec des cheveux long d'un beau noir! Mais ce qui attira plus la néko était les yeux qu'avait cet homme, ils était magnifiques!

A sa grande surprise celui-ci venu devant sa cage, l'ouvrire. Elle comprit alors rien qu'avec ses gestes qu'elle l'appartenait...Un petit sourire triste s'afficha sur ses lévres, la néko était bien sur contente de sortire d'ici! Mais celà ne l'enchantait pas beaucoup d'avoir un nouveau maitre. De toute façon elle n'avait pas trop le choix, à moins qu'elle éssayait de s'enfuire mais vaux mieux éviter avec celui là !

La néko était plus petite que lui, elle devait donc monter son visage pour le regarder dans les yeux. Miikyu souria légèrement quand l'homme lui caréssa la tete, elle n'aimait pas du tout comment il se comportait, la néko avait l'impréssion d'etre prise pour une petite fille. Miikyu décida de répondre aux questions posées:



" Je m'appelle Miikyu, j'ai 17 ans et ce que j'aime manger...Heu...Je, je sais pas. Excusez moi. "

La néko se baissa légèrement pour présenter ses excuses. Elle était pour le moment la "néko obéissante" comme lui avait demandé l'homme. Mais en réalitée Miikyu n'est pas vraiment ainssi...

La neko ne savait même pas ce qu'elle aimait manger, je lui sourit lui disant que ce n'était pas grave, je me redressa, puis j'alla près d'un étalage de laisse, il y en avait de toutes les couleurs et toutes les sortes, cuir ,plastiques, corde, tissus... Je lui fit signe de venir, et je lui dit en souriant :" Si tu voulais bien choisir la laisse qui t'ira le mieux, sache que tu en devra la porter que pour cette semaine, si je vois qu'il n'y en a pas besoin avec toi, je te l'enleverais, ainsi que ton colier."

Je souria, lui fesant un clin d'oeil, j'alla faire un tour dans les étalages, il y avait pas mal d'autre nekos, ils semblaient tous vouloir sortird'ici, je passa devant la cage d'une jeune neko nue, je souria puis je rit en disant que c'est pas avec cette tête hideuse qu'elle allait me plaire, j'arriva à une autre cage, un jeune neko semblait bien mal en point, je sourit et lui dit qu'avec une fourure aussi mal entretenue, il n'avait aucune chance de sortir d'ici.

Je continua ainsi sur toute une rangée de cage, puis je retourna vers ma neko, je sortit un bracellet de ma poche, je lui souria et lui dit : "tu sais temps que tu est gentille et obéissante, je serais très gentil avec toi, alors dis moi une chose qui te ferais plaisir en ce moment" sur ce, je me redressa et je demanda un essuis au vendeur qui me le donna prestement, je m'agenouilla et j'essuia les cheveux de ma neko, je lui dit qu'elle ferais le reste deson corps elle même.

Je souria puis je lui remit l'essuis en main, je regarda le vendeur, je lui demanda de m'apporter de l'eau et de la nouriture pour neko, il s'executa et revint au bout d'une ou deux minute avec deux gamelles, je les prit, je donna celle de nouriture à Miikyu et je garda en main c'elle qui contenait l'eau, je demanda au vendeur de m'escuser, quand celui ci s eretourna, je lui vida la gamelle dans la figure.

Le vendeur semblait énerver, mais je ne sait trop pourquois il ne semblait pas vouloir s'en prendre à moi, je lui dit que chaque fois que je le verais maltraité un neko, je le maltraiterais, je m'acroupis de nouveau et regarda Miikyu, elle était magnifique, je lui dit : "prend ton temps pour manger, quand tu aura fini, nous iront faire des courses, il te faut des vêtements."

Miikyu, regarda son nouveau maitre, il semblait très gentils malgrés son apparence..La néko suivit l'homme qui lui demandait de le suivre, elle tourna le regard vers les laisses qui étaient accrochée, il y envait de toute sortes. Mais la néko les connaissaient déjà par coeur, elle avait bien eut le temps de les "admirée" en attendant un maitre. Miikyu regarda enssuite son maitre un peu inquiète, elle devra porter une laisse et pendant la première semaine! Celà faisait beaucoup trop pour la petite néko, c'est qu'elle ne supportait pas du tout ce genre d'objet.

Elle se retrouva donc seul face aus alisses, elle devait en choisire une. Mais celà Miikyu ne pouvait pas la faire, c'était comme impossible pour la néko! Elle resta donc à les regarder sans bouger. Attendant que son maitre revienne. Il revenu après quelques minutes, apparaement celui-ci avait fait le tour de la boutique, mais pourquoi? Miikyu ne savait pas vraiment...La néko n'avait pas choisie de laisse mais l'homme ne semblait pas s'en etre rendu compte puisque celui-ci s'approcha d'elle et lui éssuya les cheveux avec un essuis.

La néko souria à son maitre, qui était bien gentils. Elle fut soulagée quand ce dernier annonça qu'elle ferait elle me pour son corps. Car Miikyu n'aurait surment pas supportée se faire touchée par son maitre...La néko prit l'éssui et s'éssuya un peu avec, en refaisant une petite toilette assez rapide. Miikyu était assise par terre, c'était plus pratique pour se laver. Quand tout celà fut fait, a sa grande surprise Miikyu eut à mùanger devant elle.

La néko comprit alors que c'était son maitre qui en avait demander pour elle, Miikyu souria et fit un signe de tete comme remerciement. Puis, elle commença à manger plutot vite, c'est un peu normale aussi puisque le vendeux ne lui en avait pas donné depuis 2 jours...Mais la néko ne se précipitait quand meme pas dessus, mangeant gracieusement comme on lui avait appris. Miikyu asséya de ne pas rire quand l'eau fut verssée sur le vendeur. C'était comme une vengeance pour elle.

Miikyu avait enfin fnit, elle se mit debout et pause doucement la gamelle sur le comptoir de la boutique puis alla vers son maitre, face à lui et souria. Elle remit toujours avec beaucoup de grace une mèche à elle qui lui tombait dans les yeux.

"Merci pour le nourriture maitre. Je..."

Miikyu ne savait pas trop comment dire celà à son maitre et cherchait les mots, on voyait très bien qu'elle panniquait un peu. La néko tremblait légèrement, tete baissée regardant ses pieds nus.

"Je vous promets d'etre sage...Alors s'il vous-plait ne m'obliger pas...à mettre une laisse...Je vous en supplie. "

La neko me ragarda et me dit d'un air franc qu'elle ne voulais de laisse, je lui dit que si elle n'en voulait pas, elle n'en aurait pas, mais qu'elle ne devrais pas tenter de s'enfuir, cependant, j'avais l'impréssion qu'elle avait de fausse idée sur moi, je m'acroupir face à elle, et sans sourir, je lui dit : " écoute, si je t'ai acheter c'est dans un but précis, vois-tu j'ai déja une neko qui me fera la cuisine"

J'était aller faire des courses avec et je l'avait laisser à la maison, je lui dit que elle je ne la voulais pas pour la cuisine, ni pour le ménage, que c'est elle que je voulais, je m'attendaità l'effrayée, ca ne m'aurait pas étoné, je me leva et partit ouvrir la porte, je lui dit que nouspartion pour le magasin de vêtements.

Je lui dit qu'il lui fallait des meilleur vêtements à fin de la mettre en valeur, aussi je lui précisa que j'avait toujours détester les nékos, et qu'elle ne devrait pas s'attendre à beaucoup de bie nde ma part, je lui dit que dès qu'elle désobéirait, je ne serais sans doutes plus le même...

Miikyu fut soulagée quand son maitre accepta de ne pas lui mettre de laisse, un sourire apparue alors sur ses lévres. Mais il dispparu aussitot quand l'homme se baissa et lui expliquer la situation. Alors il avait déjà une néko et juste pour la cuisine?! Que c'est horrible, pauvre néko, elle était dans cette maison que pour faire la cuisine, triste raison de vivre...Miikyu fut horrifiée quand l'homme lui annonça qu'il voulait tout simplement elle. La néko faillit meme tombée en arrière mais se rattrapa au comptoire.

C'était plus du tout le meme qu'elle penssait. Miikyu était-elle encore tombée sur un maitre sadique? Celà semblait etre le cas..La néko espérait pouvoire réussire à le changer car elle en avait marre de passer sa vie à se faire maltraitée. La néko avait la tete baissée mais son visage remonta quand son maitre lui expliqua précisément qu'il avait toujours détester les nékos. Miikyu était maintenant à coter de lui, près de la porte de la boutique pour aller au magasin de vetement.

Miikyu, pausa doucement sa main sur le bras de son maitre sans son accord, puis le regarda dans les yeux et demanda timidement:

"Mais pouruoi détester ainssi les nékos? "

Je regarda l'animal, il m'avait poser la question que je n'apréciait pas, je la regarda d'un regard noir et lui dit : " car des nekos on faillit me tuer quand j'était gosse, c'est tout." Je souris, puis je la tira par le bras, lui disant de me suivre, je lui dit qu'on allait tout de suite au magasin, qu'elle ne devait plus me poser dequestion avant que l'on soit sur place.

Je la lacha sur le parking, puis je l'invita à me suivre dans la voiture, je mit le contact, puis je fit route vers le centre commercial, à toute vitesse, sans même preter attention au feu rouges, j'était énerver, les souvenir de ses deux neko déchirant mes vêtements me hantaient, je lui en voulais me je n'en fit rien.

[suite au magasin de vêtments de la zone comerciale]