Prisonnière de votre liberté. [pv:Keita]

La ville, malgré qui venait d’arriver, il commençait à la connaître. Il s’y sentait bien et sa maison lui plaisait. Le ciel d’azure et la mer étincelante qui entourait l’île, on aurait peu se croire dans un rêve.
Sa vie passé ne lui manquait pas, sauf peut-être certain de ses anciens amis. Mais que pouvait il faire, il était bien loin de lui.

Il marchait a nouveau dans les rues de la ville, calmement au gré de ses envies.
Il passait devant le magasin de neko, il détourna lentement la tête. Devait il y entrer ? Oui, pourquoi pas, il était venu sur cette île pour ça, avoir sa neko. Enfin, vivre avec des nekos pour être plus exacte.

Il entra dans le magasin, la clochette retenti. Marchant calmement et doucement à travers les rayons, il ne voulait pas effrayer les nekos. Le magasin n’était pas petit, normal il devait avoir de la place pour les cages des nekos. C’est vrai, il y en avait beaucoup. Il les regardait, certain avait l’air de s’y être habituer, d’autre non.

Un fredonnement ? Peut-être que ses oreilles se jouait de lui, pourtant, il lui semblait bien entendre quelque chose. Ses pas fur guider par se sons, intriguer il voulait en connaître la source. Il l’entendait, il n’avait plus cas tourner, et il y serai arriver. C’était une neko, il eu un choc quand il la vu.

On aurait dit qu’elle s’était fait agresser, et jeter en cage. Une mèche noire devant ses yeux, ça queue poser sur ça cuisse et l’une de ces bretelles qui était tomber. Que lui était il donc arriver, il s’approcha doucement, il n’avait nullement l’envie de l’effrayer. Même si celle-ci devait déjà l’être vu son état.

Il arriva devant la cage, il ne pouvait rien faire. La seule chose qu’il avait a faire, c’était parler avec elle.
Il était un peu stresser, mais réussit à prendre une voix calme et douce.

-" Bonjour, tu ne te sens pas bien ?"

Keita était intriguer par la neko, que lui était il arriver…

-" Bonjour, tu ne te sens pas bien ?"

La neko releva brusquement la tête, ces yeux était noir, elle le regardait. Keita la regardait, pas un mouvement, ni de l’un ni de l’autre, soudain la neko s’éloigna le plus possible des barreaux. La peur, il le voyait bien, elle avait prit peur. Elle ouvrit la bouche, et remonta ces jambes contre ça poitrine et d’une voix a peine audible lui répondit.

Je... je suis désolé !
Je n'avais pas le droit de sortir, j'ai été une méchante fille.

L’émotion du visage de Kei changea, peur,confusion,domination en vu de ces réactions et ces paroles, il avait déduit qu’elle devait bien connaître ces trois mots. La peur, quand elle a fuit au fond de la cage. La confusion, elle s’excuse d’être sorti à un inconnu. La domination, elle à été une méchante fille… ou peut-être la punition.
C’est vrai, Keita réfléchissait souvent ainsi. Il cherchait les mots, et les justifiait par les actions faites. Pourquoi faisait il sa ? Pour se justifier sûrement, pour se prouver a lui-même qu’il a raison.

La neko s’approcha de lui, à quatre pattes et la tête baisser.

S'il vous plais, ne me laissez pas ici.
Je... je ferais ce que vous voulez.
Ne me laissez pas ici.

Keita baissa la tête, plus un mot,plus un mouvement. Immobile et silencieux devant cette cage. Sans un mot, sans un regard, il fit dos à la cage et se mit a marcher. Ses pas n‘était ni rapide, ni lent. Ou,ou était il… son regard s‘arrêta sur l‘homme, il releva la tête et le regarda.
L‘homme avait compris et se mit à le suivre, arriver non loin de la cage il tendit la main. L‘homme n‘aimait pas faire cela, mais accepta, il lui donna les clés. Calmement et doucement, la cage se rapprochait.

Arriver à celle-ci, il déverrouilla la cage, et jeta les clés à l‘homme qui repartit. Lentement il se mis à genoux, pour être au niveau de la neko. Sa main se posa sur l‘un des barreaux.

-" Je m’appel Keita."

Doucement, la porte de la cage s’ouvrit. Comment allait elle réagir, il le serait bientôt. Elle… elle ne pouvait pas rester ici, si quelqu’un avec de mauvaise intention l’entendait dire cela. Il ne voulait pas imaginer ce qui aurait peu lui arriver, il était arriver avant eux.

Ça tête se redressa, a nouveau il vit ces yeux noir. Doucement elle passa une jambe dehors, puis posa ça main sur le sol. La neko était sortie de la cage, Kei était toujours à genoux devant elle.
Soudain elle baissa les yeux.

Mon nom est Ashura.

Elle inclina très vite ça tête, ces cheveux noir tombèrent devant ces yeux.
Doucement son bras se tendait, sa main arriva sous son menton, et il lui redressa la tête.
Il avait bien deviner, enfin sur certain point il semblait avoir raison. Mais avait il raison sur tout, peu importe. Il lui sourit chaleureusement.

-" Enchanter,s’il te plait. Ne baisse plus les yeux, ni la tête."

Que devait il faire. Devait il aller la payer, ou discuter avec elle ? Après tout voulait elle de lui ? Mais il ne pouvait la laisser la, après avoir entendu ces mots. Il se doutait que cela serai étrange, il le savait. Mais il voulait en être sur.

-" Veux tu de moi comme… comme…"

Il n’aimait pas trop dire maître, il avait du mal à le prononcer. Il ne se considérait pas vraiment comme un être supérieur, mais que pouvait il dire d’autre ? Ami ? Cela ne collait pas.
Il n’avait pas beaucoup de choix, et prit celui qui lui semblait être le bon.
Il lui tendit la main.

-" Je possède une maison, tu peux venir y vivre avec moi. Si tu le veux bien sur."

La main tendu vers la neko, il attendait ça réponse. Il ne voulait pas la presser, ni l’effrayer.

La main de la neko se leva, et glissa sur celle de Keita. Lentement ils se levèrent, il la regardait, une grimace. Pourquoi donc une grimace, l’une de ces mains alla se poser sur ça cuisse, un petit cercle bleu, une trace de piqûre. Ashura ce tenait debout devant lui.

Je veux bien Maître Keita !

Maître… il n’aimait pas trop ce mot, mais elle avait accepter, cela le rassura.
Le vendeur passait derrière lui, le regarde de la neko se posa sur lui, un regard de rage. Elle ne devait sûrement pas l’aimer, comme la plus pars des nekos qui se trouvait dans ces cages.
Son regarde vain à nouveau se poser sur lui, c’est alors qu’il remarqua un détail. Doucement avec son autre main, il remonta la bretelle de son haut qui était tomber. Et il lui sourit tendrement.
Il prit une voix plus basse pour qu‘elle seule puis l‘entendre.

-" Ne m’appel pas maître s’il te plait, je ne suis pas supérieur à toi.

Je suis Keita."

Il se dirigeaient vers le comptoir, le vendeur le rejoignit. La neko se trouvait derrière lui, s’en doute ne voulait elle pas voir le vendeur, elle avait serrer sa main un peu plus fort en le voyant. Il paya le vendeur, et se dirigea vers la sortir.

-"Excuse moi, vous devez la tenir en laisse."

-" Pourquoi donc ?"

-"Vous venez de l’acheter elle est encore sauvage, elle pourrait s’enfuir."

Il se tourna vers Ashura et la regarda, il n’avait aucune envie de lui mettre une laisse, ni même un collier. Mais c’est vrai, ici les nekos devait avoir un signe pour savoir si ils appartient a quelqu’un ou non.
Il y avait déjà penser. Il adressa la parole à la neko.

-" C’est vrai, je viens de t’acheter."

Il avait un air un peu pensif.

-" Mais comme je te tien la main, ça devrai aller, n’est-ce pas ?"

Il lui sourit et attendait ça réponse pour sortir du magasin.

Un maître qui ne veux pas de son titre ?
Quel étrange homme..
Ashura suivit pourtant cet homme, aussi étrange soit il, vers la sortit, sa main dans la sienne.
Aucun de ses anciens maîtres ne l'avait jamais prise par la main.
Elle resta derriere lui, respectant encore une vieille rêgle que ses maîtres aimaient lui faire appliqués.
Aussi et surtout, pour ne pas croiser le regard de l'homme qui l'avait enfermé.

Mais plus difficile d'échapper à ses mots.

-"Vous venez de l’acheter elle est encore sauvage, elle pourrait s’enfuir."

S'enfuir.. oui s'était bien ce qu'elle voulait.
Sa tête se releva, son regard se posa sur la porte, dehors.. dehors était tout proche.

-" Mais comme je te tien la main, ça devrai aller, n’est-ce pas ?"

Elle n'avait pas suivit le fil de la conversation, mais cette question lui était adressé.
La neko ne sait pas mentir, elle lève les yeux vers ceux de l'humain.
Une question fusa dans son esprit, puis le souvenir du sourire qu'il lui avait donné en lui murmurant de ne pas l'appeler Maître.
Un clignement de paupière sur l'ombre noir de ses yeux, elle avait pris sa décision.

- Je ne m'enfuirais pas en sortant Maî..Keita.

Retennir ce mot semblait plus difficile que prévu en s'adressant à l'homme, elle avait failli le laisser sortir.
Elle rougis de sa faute, détournant les yeux pour ne pas les baissés, serrant toujours dans sa main celle de l'homme.

- Je ne m'enfuirais pas en sortant Maî..Keita.

Il la voyait rougir et détourner son regard tout en serrant sa main. Elle ne l’avait pas dit, même si elle faillit. Ca lui étant égale, temps qu’elle faisait l’effort d’essayer, cela lui convenait.
Il sorti du magasin suivit d’Ashura. Elle se trouvait derrière lui, toujours main dans la main. Il fit quelque pas, elle restait derrière lui. Il s’arrêta, doucement il ramena son bras vers l’avant, pour que la neko avance.

-" Pourquoi reste tu derrière ? Vien a coter de moi."

Ils continuaient de marcher il se dirigeait vers sa maison, il devait l’y amener pour qu’elle puis voir, où elle allait vivre. Il marchait d’un pas normal, de tel façon a ce que la neko puis le suivre, il ne voulait pas aller trop vite pour elle. Soudain il vit un magasin de l’autre coter de la rue, un magasin de vêtement.
Il regarda Ashura, elle se trouvait dans une tenue légère. Peut-être que de nouveau vêtement ne lui ferait pas de mal.

-" Ashura, voudrai tu des nouveaux vêtements ? Il y a un magasin en face, si tu veux on peut y aller maintenant. Ou plus tard si tu préfère, c’est comme tu veux."

Il lui souriait, il était calme et un peu moins tendu maintenant qu’il était sorti de ce magasin de neko.

Je voudrais...

Je voudrais rentrer à la maison.

Il resta pensif, peut-être voulait elle ce reposer, ou bien voulait elle voir la maison avant. Peu importe, si elle ne voulait pas, il n’irait pas. Il se remit a marcher avec Ashura à coter de lui, il se dirigeait maintenant vers se maison. Il espérait juste que sa maison lui conviendrai.


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