Un espace clos, renfermé, d'où il est impossible d'en sortir, malgré le fait qu'on puisse voir le paysage alentour.... Enfin, si on peut appeler "paysage" cet infâme endroit où état enfermée Kureha. Une cage, voilà où elle était, cette cage immonde, et tellement semblable aux autres, toutes formant cet endroit communément appelé "Animalerie". Le décrire serait une perte de temps sans commun précédent, tellement 'endroit était banal. L'entrée éait banale, la taille des cages, exigue, l'odeur, inconfortable... Bref, un endroit où l'on ne souhaite pas rester...
Kureha était assise dans un coin de sa cage, avec un bon mal de gorge. Elle avait certainement trop feulé, et s'était chopé une bonne irritation. En arrivant dans cet endroit, sos l'effet des sédatifs, elle ne s'était pas trop débtattue, mais voilà, depuis trois jours, elle ne cessait plus de feuler, de se débattre, elle refusait toute nourriture, elle gardait seulement l'eau pour continuer à crier... Mais finalement, elle était devenue presque muette a force de crier, et maintenant, elle était contrainte malheureusement de se taire et de remballer ses belles paroles... En plus, elle avait écrit un super discours sur les droits des nekos... Qui par ailleurs ne semblaient guêre respectés ici, à voir tout les prix et les manières dont ils étaient traités. La neko se rcla la gorge, occasionnant une vive doleur. Mais aucune expression ne traversa son visage fermé. Bien, s'ils souhaitaient se battre avec elle, elle tiendrait le plus longtemps,attendrait qu'un vendeur s'approche d'elle, elle le tuerait alors vite fait et il n'y aurait plus de problème...
La neko ne bougea pas, plutôt occupée à monter ses petits plans de tuerie.. Il y avait plusieurs versions. La soft, elle tirait simplement uen balle dans le coeur du vendeur, mais il lui faudrait un revolver... Et sur elle, on ne lui avait autorisé que quelques innocentes aiguilles... Afin de faire un peu de couture sans doute... Mais bon, sur ce point là, ils ignoraient tous que les aiguilles étaient des armes terribles dans les mains de certaines personnes particulièrement. Et, pour bien les utiliser, rien ne valait la patince, et l'observation. C'éait la méthode pour laquelle avait opté Kureha, trois petites aiguilles cachées au creux de la paume. Elle attendait patiemment lemoment où ce fichu vendeur viendrait, et tenterait de rentrer dans sa cage pour la nourriture.. Elle savait exactement où frapper, au millimètre près. Et il ne lui restait plus qu'à attendre... Mais malheureusement, alors qu'elle pensait alors avoir une simple chance en entendant des pas dans sa direction, elle s'apercut qu'il ne s'agissait pas du vendeur, mais de quelqu'un d'autre...