Après les vêtements, la nourriture ( Pv : Aine Onna )

Aine et son maître venait de sortir du magasin de vêtements qui était, à présent, complètement noir. Il venait de fermé. Aine avait son long manteau que Saito venait de lui acheter. Elle avait bien chaud avec. Le supermarché se trouviat en face d'eux. Il fallait qu'ils achètent de quoi manger pour ce soir. Ils traversèrent donc la rue pour se retrouvé devant le magasin. Les portes automatiques souvrirent devant eux, laissant sortir un courant d'air chaud. Ils entrérent.

Saito avait prit les sac dans sa mains gauche, tenant la main de sa neko par la droite. Aine ne le lachait pas. Elle avait bien trop peur de se perdre. Il faut dire que c'était assez grand. La jeune fille avait toujours ce grand sourire sur son visage. Elle n'était pas réellement heureuse de faire les courses mais elle l'était beaucoup car elle passait du temps avec son maître. Elle regardait tout autour d'elle comme si elle voyait tous ça pour le première fois de sa vie et pourtant ce n'était pas la cas. Elle avait souvent fait ce genre de chose pour rendre service, lorsqu'elle était de bonne humeur, à son ancien maître. Elle entendit SAito demander ce qu'ils allaient manger.

Aine tourna aussitôt la tête vers lui. Elle réfléchit à ce qu'elle pourrait bien faire pour son maître bien qu'elle n'était pas sur qu'il voulait qu'elle lui prépare quelque chose à manger. Elle se remit à regarder autour d'elle. Il n'y avait pas beaucoup de monde mais déja plus que dans la boutique de vêtements. Les lumières l'éblouissait légèrement, la forçant à cligner des yeux.

Il réfléchissait encore et toujours a cette question bien que stupide et sûrement ironique, mais qui en se moment même avait beaucoup d’importance. Qu’allait il donc pouvoir manger ce soir, seul ou avec elle selon son comportement qui pour l’instant n’était pas vraiment à plaindre. Par contre il avait vraiment la flemme de préparer quelque chose de complet, donc un simple plat serait plus que suffisant, tel que des ravioli ou quelque chose du genre.

De tout façon ce n’est pas en restant ici qu’il trouverait quelque chose à manger, il prit donc la direction des rayons de plat a vite préparer en ne lâchant sous aucun prétexte sa neko. Il marchait pas trop lentement pour pouvoir vite faire ses achats car le supermarché n’allait pas tarder lui non plus à fermer, arrivée dans le rayon il se mit en plein milieux pour pouvoir tout voir et lâcha la main de la neko, de tout façon il y avait personne dans se rayon, il mit sa main sous son menton et se mit à réfléchir.

« Tu vois un truc bon. »

[Désoler c’est cours. ]

Son maître cherchait ce qu'il pouvait bien manger pour ce soir. Aine ne connaissait encore rien au goûts du jeune homme et préféra donc se taire. Elle regardait tout autour d'elle, légèrement éblouit par la lumière qui se reflétait dans ses yeux. Elle avait encore beaucoup de mal à supporter une trop forte luminosité bien que ceci faisait déja des années qu'elle ne vivait plus dans l'ombre, ne sortant que la nuit tel une chauve souris. Elle vit tout de même que son maître cherchait mais sans pour autant se déplacer. Aine restait là, sa main dans la sienne, regardant les quelques personnes entréer et sortir du magasin. La rue était pratiquement déserte et surtout très sombre. Aine se mit à la fixer, comme si qu'elle que chose l'intrigait ou venait d'attirer son attention. Pourtant il n'y avait rien... rien à part les quelques lampadaires qui venaient de s'allumer en même tenmpts que la lumière des magasins, elles, disparaissent, laissant place à une "rue fantôme".

Ce ne fut que lorsqsue son maître commença à marcher en direction d'un rayon qu'elle détourna les yeux pour se reconsentrer sur le magasin. Elle mit sa main libre devant ses yeux, la protégeant de la lumière. Quoi de plus normal d'avoir mal au yeux lorsque nous sommes rester un certain moment à fixer quelque chose de noir et sans aucun mouvement et de revenir par la suite à un endrois en mouvement et très éclairée? Le jeune homme ne lacha pas la main de la jeune fille. Il marchait d'un pas assez rapide, comme si il était préssé. Ils arrivèrent enfin dans un rayon ou ils s'arrêtèrent, en plein milieu. Il lacha la main de sa neko. Ce rayon était complètement désert... et le magasin devait l'être lui aussi. Elle se remit à regarder tout autour d'elle, cherchant quelques chose qu'elle connaissait. Son maître lui demanda si elle voyait quelque chose de bon. Elle le regarda avec un grand sourire avant de lui répondre.

"Je ne connais pas vos goût maître. Je ne sais pas ce que vous qualifié de bon ou mauvais."