Alice venait encore d’être vendu. Pour la troisième fois exactement. Elle se trouvait sur la place du marché, sur la place principale, prés d’une fontaine, dans un grand camion assez chic, preuves que le marchand était assez riche. Il y avait de simple vitre pour regarder les marchandises sans les toucher. A coté d’Alice se trouvait au moins une bonne trentaine de nékos. Certain était nues, d’autres habillées élégamment.Alice, elle, se contentais d’arborer une élégante robe noire, assez gothique, lui arrivé au genou. Ses bas recouvraient ses tibias, ce qui lui allait fort bien. Ses manches, qui n’étaient nullement identiques, n’étaient pas du tout tachés. Alice mangeait tranquillement une grappe de cerise, en regardant les nékos se faire achetait. Cela l’effrayer de voir que même des enfants de douze ans pouvant acheter des nékos ayant la seizième. Alors qu’il ne restait pratiquement que la moitié des nékos, elle vit un jeune homme de 20 ans passé devant elle. Il avait l’air vaguement intéresser et discuta avec le marchant. Les seuls mots qu’elle entendit étaient « Esclave », « Sexe » et « Prix ». Elle pensait qu’a nouveau une homme sans scrupules allait en faire son jouet sexuelle, sans se soucier le moins du monde de ses états d’âmes. Puis elle vit un homme assez fort arrivait. A nouveau, elle n’entendit que « le quadruple », et « prix ».Elle en conclue donc que l’homme venait d’acheter la néko pour le quadruple du prix qu’avait proposée l’homme. Mais elle compris rapidement que ce n’était pas pour elle, et elle vit l’homme assez massif entrait dans la cage. Il saisit par le collier une dizaine de nékos, tous plus mignons les un que les autres. Puis, son regard pivota sur Alice, et sans gène, il tata la marchandise, Commençait a soulever ses vêtements, mais Alice ne bouchait pas le moins du monde .Elle savait que ce genre d’homme pouvait réagir violemment. Alors qu’il eu enfin finit de tripotez son corps, il déclara avec un grand sourire :
« Ca, c’est de la bonne qualité ! »
Puis il tira sur son collier pour lui faire signe de descendre. Alice rejoignit quelques nékos, et le gardien de la fourrière - car c’était lui – Tendit une liasse de billet au marchand. Il attacha une corde a tous les collier des nékos, et les embarqua dans un camion assez mal famé. Elle vit certain nékos s’accouplait a l’intérieur du camion. Elle se dit que certains nékos étaient encore pire que des animaux. Puis, un de ses « males dominant » s’approcha d’elle. Elle l’écarta avec un coup de griffe assez convainquant, bien qu’un peu faible. Mais cela n’effraya pas le male, qui s’apprêta à bondir sur elle. Mais le camion freina violemment, et la porte s’ouvrit. Alice, qui était prés de la porte, descendit la première, voulant s’écarter des bêtes qui étaient dans le camion. Le marchand referma ensuite la porte, et conduit Alice dans des petits vestiaires. Il ferma la porte à clé, glissa celle-ci dans sa poche, et en profita pour déshabillait la jeune fille délicatement, en ne pouvant s’empêcher de regardait vicieusement la jeune néko. Lorsqu’il enleva la robe de celle-ci, il le fit sensuellement et regarda le corps d’Alice. Puis, il lui mit une vieille robe et ouvrit la porte, en ne pouvant s’empêcher de lui mettre une main.
« Ah ! Si j’avais 10 ans de moins ! »
Déclarât-il tout haut .Il fit entrer Alice dans une petite cage avec un mince filet de paille, une pipette et une gamelle vide. Il la fit entrer vicieusement, à la façon d’un sado masochiste, et la regarda en écrivant sur un papier, qu’il colla contre la cage ensuite. Une fois le vendeur pervers parti, Elle saisit l’étiquette.
Prénom : Alice
Age : 16 ans
Description : Bien bâtie, formes généreuse.
Psychologie : Peut être insolente, mais docile
Etats : A vendre, non réservé
Prix : a débattre
Une fois le bout de papier lu, elle ne pus que se recroqueviller dans sa cage en prenant une mine délabré et en songeant au futurs qui l’attend.Puis, elle repensa a l'homme de tous al'heure, qui avait laissé la néko dans le noire. mAis Alice 'en fichait, ses yeux pouvant percé l'obscurité. Elle cria malgré la porte fermé :
" Vieux pervers ! J'vais vous tuezz !! "
Autant dire que la jeune fille réagissait a l'abri du danger, longtemps aprés.