Arrivée. [pv Saito]

« Il fait froid et sûrement encore plus froid pour une petite neko, je vais te mettre une veste et puis je te porterais jusqu’au pensionnat. Au moins tu n’aura pas froid, ça serais dommage de tomber malade n’est-ce pas. »

Un sourire apparut sur mes lèvres a cette réponse, et je lui dit:

"Je sais ce que c'est que d'avoir froid monsieur, je viens du nord de la Russie. Mais c'est vrai qu'être malade serait dommage."

Puis il m'aidât a mettre la veste et quand il gratouillat mon oreille je ne put m'empêcher de ronronner doucement, mais le gratouillement s'arrêtât bien vite et il me dit qu'il allait devoir me porter puis il me dit aussi son nom et qu'il était responsable des neko du pensionnat. Ma canne est accrochée a la ceinture de ma jupe et ma peluche aussi. Quand il me soulevât je sourit et me laissât faire, il mit ma tête contre lui et sans vraiment faire attention je me blottit un peu contre lui plaçant mes bras autour de son cou pour me tenir. Quand on sortit je remarquât que oui il faisait froid mais j'ai connu pire, monsieur Saito restât immobile un instant avant de se mettre en route rapidement. Je ne sais pas combien de temps le trajet a durer mais on arrivât assez vit dans un endroit chaud, il continuât de marcher et montât des escalier je ne sais pas ou il va mais je ne dit rien, finalement il arrête mais je ne dit toujours rien j'attends qu'il me dise ou on est.

Saito resta silencieux durant tout le trajet jusqu’au pensionnat, il n’avais pas e envie de parler pour il ne sait quel raison. La seul chose qui lui importait était d’arrivée le plus vite possible au pensionnat pour être enfin au chaud, il ne supportait pas la froideur de l’hiver. Ses pas furent rapide et il arriva rapidement à destination, poussant la grande porte avec ses pied il pénétra dans le bâtiments et se dirigea sans tarder vers l’étage.

Il ne mit que quelques instant pour arrivée à destination et donc devant la porte de ce qui maintenant, allait être la chambre de la petite aveugle. Il la posa doucement par terre, sortant la clé pour déverrouiller la porte et la pousser doucement vers l’intérieur pour l’ouvrir. Il posa sa main sur la tête de la neko lui faisant signe d’avancer mais de faire attention.

« Nous sommes arrivée dans ta chambre, entre donc mais fait attention. »

Monsieur Saito me déposât par terre, j'entends une porte s'ouvrir, ah on doit être a ma chambre alors. Il posât sa main sur ma tête, alors que je détachait ma canne de ma ceinture, la remettant a sa taille normale j'écoute ce qu'il dit:

« Nous sommes arrivée dans ta chambre, entre donc mais fait attention. »

J'ai deviner juste, je sourit et je répond alors d'une voix douce:

"Oui monsieur Saito."

Monsieur, c'est une habitude pour moi de le dire, j'ai eu l'habitude avec les scientifiques alors ça reste. J'entre doucement dans la chambre, faisant cogner ma canne sur le bord de la porte pour "voir" mon environnement et donc je sais me diriger, je vais au centre de la chambre puis je me tourne vers monsieur Saito et je sourit. Je donne un coup sur le sol de ma chambre et les sons se répercute, je "vois" monsieur Saito plus ou moins bien, mais j'ai envie de graver son visage dans ma tête pour savoir vraiment comment il est. Je baisse la tête et demande d'une voix un peu timide:

"Monsieur Saito est ce que vous voulez bien que je touche votre visage pour savoir a quoi vous ressemblez."

J'attend sa réponse gardant la tête baissée, j'ai main serrée contre ma canne mais j'attend et j'espère un oui.

Saito se contenta d’observer la neko, il voulait être sûr qu’elle puis entrer dans sa chambre sans se blesser ou tomber. Car si il arrivait quelque chose à la neko il en serait tenu pour responsable, même si il détestait les pertes de temps dans ce genre de cas il préférait un peu attendre pour entre sur. La neko détacha sa canne de ça ceinture et avança doucement tout en frappant le sol avec celle-ci, Saito arque un sourcille tout en l’observant se demandant ce qu’elle pouvait donc bien faire. Mais étrangement elle entra dans la chambre sans aucune difficulté et semblait même savoir où elle allait, une foi au centre de la pièce elle se tourna et lui fit face avant de taper une nouvelle foi avec ça canne sur le sol.

"Monsieur Saito est ce que vous voulez bien que je touche votre visage pour savoir a quoi vous ressemblez."

Il continua de la regarder immobile depuis la porte, elle l’intriguait tout de même pourquoi frappait elle donc le sol avec sa canne. Ça lui rappelait un très vieux film avec un homme qui étant aveugle tapais pour faire rebondir les ondes et ainsi voir, mais il ne se souvenait plus du nom du film mais peut importe. Elle voulait donc toucher son visage pour le voir, voila quelque chose de plus sensé en vue de sa non voyance, même si le faite qu’après qu’elle ai taper le sol avec ça canne elle avait peu marcher aisément vers le centre de la chambre. Il s’approcha de la neko entrant finalement dans la chambre, après tout il avait encore quelque explication à lui donner, mais il hésita encore pour le faite qu’elle puis le toucher.

De tout façon il était hors de question qu’il s’abaisse pour qu’elle puis le toucher, il ne se mettrait jamais au même niveau que les nekos même si celle-ci était aveugle. Maintenant poster devant elle, il la regardait de haut s’interrogant encore si il allais l’autoriser à lui toucher le visage ou non, mais il du bien admettre qu’il n’avait pas le choix si elle devait le reconnaître. A nouveau il posa deux main sur ces coter et la leva d’un coup pour la porter, il passa un bras sous ses fesses pour qu’elle soit comme assise face à lui, mais il ne dit pas un mot cela ne lui plaisait pas trop alors lui dire en plus qu’elle pouvait y aller aurait été de trop, mais elle devait bien avoir comprit qu’elle pouvait.

Je l'entendit s'approcher, mais je gardât la tête sans rien dire. De surprise quand monsieur Saito me portât je lâchât ma canne mais je relève la tête et je sourit. Monsieur Saito ne dit rien mais je me doute que je peux, alors doucement je pose mes mains sur ses joues, puis tout son visage passe mes mains. Maintenant je sais a quoi monsieur Saito ressemble. Je pose mes mains sur ses épaule et je lui fait un magnifique sourire puis rapidement je lui fait un bisou sur la joue et je dit dit:

"Merci monsieur Saito."

Je ne dit rien d'autre et attend la suite toujours aussi souriante.

[désolée c'est court mais je sais pas quoi mettre d'autre]

Il ne se sentait pas vraiment à son aise ainsi tenant la neko dans ses bras pour qu’elle puis lui toucher le visage, ce n’était pas vraiment le faite de la prendre dans ses bras ça il s’en moquait éperdument. Mais plutôt cette situation peu habituel qui le perturbais un peu, il avait pour habitude de les maltraité et les violenter, pourtant quand il regardait cette petite neko aveugle il ne sait pas vraiment pourquoi mais il n’avait aucune envie de douleur.

Quel étrange faite qui se dévoilait à lui à se moment précis, pourquoi donc n’avait il pas envie de la faire souffrir, il la regardait simplement sans un mot. Mais en y réfléchissant bien cela était pourtant logique ce qui se passait, enfin la logique dépend de la personne et pour lui cela en était une. Il ne voulait pas la violenter car elle était ce qu’elle était, autrement dit aveugle et donc déjà punis. Quel intérêt y a-t-il de torturer quelqu’un qui n’est même pas capable de savoir ce qui va lui arriver, ce n’est pas vraiment sont age qui le dérangeait non plus, mais simplement le faite qu’elle soit aveugle.

Il s’approcha de la porte pour la fermer d’un coup de pied, pour éviter de perdre la chaleur de la pièce puis se dirigea vers le lit. Il y prit place en s’asseyant tout en gardant la neko contre lui qui fini assit sur ses genoux, il posa sa main sur la tête de celle-ci et la lui caressa doucement. Il aimait bien caresser les nekos, même si il les maltraitait cela le relaxait et dans un sens montrait sa supériorité car elle se laissait faire. Même si celle-ci disait qu’elle se laisse faire car elle aime bien, cela montre qu’elle ne sait pas se dominer contre ces instinct et donc qu’il est plus fort qu’elle, mais pour l’instant il n’y pensait pas.

« Oh faite, on à préparer une salle pour la fête de Noël, tu veux y aller ? Même si il faudra tout de même te changer. »

Après que j'ai touché son visage monsieur Saito me gardât dans ses bras et il allât fermer la porte en donnant un coup de pied dedans. Je sourit quand il s'assit et que je me retrouvât assise sur ses genoux, rapidement je passe mes bras autour de son torse et je pose ma tête contre son torse.

Quand monsieur Saito me caresse la tête je commence a ronronner, je peut pas m'en empêcher.

« Oh faite, on à préparer une salle pour la fête de Noël, tu veux y aller ? Même si il faudra tout de même te changer. »

Je redresse la tête et je sourit a monsieur Saito.

"Oui monsieur Saito, je veux bien y aller."

Je n'ai fêter Noël qu'une fois, c'est ce jour la que j'ai reçut mon chien en peluche, j'avais 4 ans et par après je n'ai plus jamais fêter Noël. Je fait un énorme sourire a monsieur Saito.

A peine l’avait il caresser qu’elle c’était mis a ronronner comme un petit chaton, il remarqua qu’elle semblait très intéresser par la fête de Noël. Il pencha la tête sur le cote réfléchissant un instant, elle n’allait tout de même pas y aller dans cette tenue soudain il se souvenait d’un détail. Il avait chez lui une robe qui pourrait lui aller, il avait différente robe de taille différente car il ne savait pas quel genre de neko il allait avoir, puis avec Shinubo elle devait avoir presque le même age et peut-être la même taille donc ça devrait lui aller.

Par réflexe quand il réfléchit il aimait bien s’allonger et se laissa donc tomber sur le lit, oubliant un instant qu’il avait la neko sur ses genoux. Il ne remarqua pas qu’elle était maintenant allonger contre lui, il lui caressait encore la tête d’un mouvement reflex sans vraiment s’en rendre compte. Quand il eu fini de réfléchir et qu’il s’en rendit compte il arqua un sourcil, la neko ne semblait pas s’en plaindre bien au contraire.

« Je dois avoir une robe chez moi, qui doit être à ta taille. Je viendrais te chercher et t’aider à la mettre que j’arriverais avec mes nekos pour la fête si tu veux. »

Je ronronnais toujours blottie contre monsieur Saito, j'adore les câlins et les caresses. Quand il s'allongeât je retirât mes bras, restant contre monsieur Saito, comme il continuait de me caresser la tête je ronronnais toujours. La tête posée sur son torse, j'était bien comme sa.

« Je dois avoir une robe chez moi, qui doit être à ta taille. Je viendrais te chercher et t’aider à la mettre que j’arriverais avec mes nekos pour la fête si tu veux. »

Je redressât la tête surprise je ne m'attendais pas a ce qu'il me parle je répondit quand même rapidement.

"D'accord monsieur Saito."

Je lui sourit.

Saito resta encore allonger quelque minute sur le lit, se reposant un peu de sa journée tout de même charger. Ses yeux clôt regardaient le plafond vide et sombre, sentant contre lui les ronronnement de la petite neko aveugle. Il ouvrit doucement les yeux voyant enfin le plafond et les cheveux de la neko, il se redressa doucement la ramenant sur ses genoux.

« Je vais devoir te laisser pour rentrer chez moi, je dois me préparer pour se soir, et prendre la robe. Je viendrais donc te chercher, en attendant vite un peu le pensionnat. »

Je la posa sur le lit et me releva me tournant vers elle pour encore la regarder, je mis ma mains dans la poche et en sorti une barre de chocolat. D’après le vendeur elle adorait ça, je m’approcha d’elle et lui ouvrit la mains pour la mettre dedans et m’approche de la porte avant de l’ouvrit.

« Un petit quelque chose à manger. »

Je sorti ensuite de la chambre et prit la direction de la sortie pour rentrer a la maison ou les deux autres devait m’attendre pour se soir.

Quand monsieur Saito s'assit je restât blottie contre lui, puis il me dit qu'il allait devoir me laisse pour rentrer chez lui. Hum je me retient de faire une moue boudeuse et le lâche me laissant déposer sur le lit et je sourit a Monsieur Saito. J'entendis qu'il fouillait dans sa poche, puis monsieur Saito prit ma mains et l'ouvrit pour déposer dedans je ne sais quoi, il me dit ensuite:

« Un petit quelque chose à manger. »

"Merci monsieur Saito."

Je lui sourit un dernière fois avant qu'il sorte puis j'ouvris la barre de chocolat, j'en mangeât un morceau avant de la dévorer rapidement, j'adore le chocolat. Je déposât ma peluche sur mon lit et me levât avant de faire le tour de ma chambre, je trouve a ma gauche une armoire, puis je vais a droite de mon lit et je trouve deux fenêtre et en face de mon lit il y a des tiroirs. Je me dirige doucement vers la porte et fait un petit tour a cet étage mais je ne vais pas ailleurs et je retourne dans ma chambre rapidement, je me laisse tomber sur mon lit et je prend ma peluche dans mes bras la serrant contre moi, je commence a somnoler...

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